samedi 5 mai 2018

CELA se danse aussi.

- Photo de Frédéric D. Oberland. -
En écoutant
3. AL-AN ! - 2017.
OISEAUX-TEMPÊTE

Le B.A.V.U.U [Blues de L'Anomie des Vides de l'Ultra Urbanisation].
Chronique du 20.01.2018.


Sans niaiserie aucune les Oiseaux d'Oberland sont à la Tempête dans le désir déployé et récompensé de réussite d'un Frédéric et ses complices pour sans tempo et mélodies oubliées un blues ultra-urbain dans la temporalité-réalité de lieux invisiblement sonores mais profondément accroché au terrible présent des creux de vides de la post-modernité supra-bétonnée dans la néons-colonisation du débordement des ondes électro-magnétiques silencieusement trop sifflantes mais au dessus - bien au dessus ! - flotte une dose sacrée d'Humanité transite de par les perditions chairs déracinées de chanteur sans chant depuis que les voies sont ailleurs et surtout sans voix ! La Musique - ou ce qu'il en reste - offre une Musique tout autre en la conjugaison des saturations d'inquiétudes exacerbées d'anomie sub-ultra-urbaine soit l'autre blues d'un impossible - hélas ! devenu possible - en décennie 2 du siècle 21.

L'orchestre de cet improbable se nomme Oiseaux Tempête et il est emmené visiblement par un certain Frédéric D. Oberland - je vous reparle bientôt de ce dernier qui est aussi photographe - et leur disque tout aussi improbable AL-'AN ! C'est de la Grande Musique universelle qui témoigne d'aujourd'hui puis s'il me faut choisir une bande son pour définir le sur-romantismebleuNUIT alors j'opte pour cet opus...




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